La vantardise est étalage ou fanfaronnade ostentatoire. C’est une expression de la fierté.
Se vanter, c’est parler en vain, fièrement pour exagérer ou exalter son propre soi.
Ne vous vantez pas de ce que vous pouvez ou voudriez faire. Les actions parlent plus fort que les mots. Faire est la seule réussite pratique.
L’humilité va naturellement avec la sagesse. La vantardise va naturellement avec l’ignorance.
Un vantard peut ne pas savoir grand-chose, mais il est certain qu’il ne sait pas autant qu’il pense qu’il sait.
Le soleil n’a pas besoin de se vanter de son éclat, ni la lune de son rayonnement. Les gens honnêtes et courageux n’ont que très peu de choses à dire sur leur honnêteté et leur courage.
Seul un vase vide fait beaucoup de bruit. Ainsi est le vantard. Il parle bruyamment de lui-même. Ses voisins n’aiment pas cela. Ils connaissent sa vraie valeur. Ils se moquent de lui.
Quand la vantardise finit, la dignité commence.
En principe, les plus grands vantards sont les plus petits travailleurs.
Les fleuves profonds paient un tribut plus grand à l’océan que les ruisseaux peu profonds, et se vident avec moins de bruit.
Celui qui considère sa valeur n’est qu’un mendiant.
Un fanfaron devrait craindre cela, car on le traiterait rapidement d’idiot.
Vous blessez votre modestie et pourrissez la pureté de vos mérites, quand vous les publiez et quand vous en faites de la publicité.