Le discernement est prudence. C’est la liberté d’agir à son gré.
Le discernement est la capacité et la tendance de choisir ou d’agir avec prudence. C’est la perception instinctive de ce qui est sage ou correct, uni avec la prudence. C’est de la sagacité. C’est l’habitude de jugement sage, spécialement en relation avec sa propre conduite.
Le discernement est la liberté d’action et de décision d’une manière particulière. C’est la liberté dans l’exercice du jugement, ainsi que l’action résultant de cette liberté ; comme « L’affaire est soumise à votre discernement ».
Un homme de discernement est sage quand il s’agit d’éviter des erreurs, ou de faire le mal, ou de choisir le juste milieu pour accomplir un but. Il a un bon discernement. Il est judicieux.
Le discernement est ce qui permet d’avoir un jugement critique de ce qui est correct et convenable, unit avec la prudence.
C’est une appréciation et un jugement agréable, dirigés par la circonspection, et concernant essentiellement sa propre conduite.
Le discernement est le vainqueur de la guerre, le vaillant n’étant que l’élève.
Le discernement est la liberté ou le pouvoir d’agir sans autre contrôle que son propre jugement ; comme « La gestion des affaires a été laissé au discernement du président. »
Il y a beaucoup de brillantes qualités dans le mental ; mais aucune n’est aussi utile que le discernement.
Le discernement dans la parole est plus que de l’éloquence.
Le discernement est le sel de la vie. Il préserve la vie.
Le discernement est la perfection de la raison. Il est votre guide dans tous vos devoirs dans la vie.
Le discernement est la meilleure partie de la bravoure.
Le discernement ne se trouve que chez l’homme de bon sens et de bonne compréhension.