Le pardon, c’est avoir de la mansuétude. Le pardon, c’est laisser passer une offense ou une dette. C’est une disposition à pardonner ou à excuser.
Un homme qui pratique le pardon est miséricordieux et compatissant.
L’erreur est humaine, le pardon est divin.
Le simulacre de pardon est fréquent. Le vrai pardon est rare.
Si vous pratiquez le pardon, vous deviendrez fort et noble. Vous pourrez contrôlez aisément la colère.
Avec le pardon, on économise les frais de la colère, les coûts de la haine, la perte du moral.
Le pardon devrait être comme un mot annulé, déchiré et brûlé, de telle manière qu’il ne puisse jamais atteindre quiconque.
Celui qui pratique le pardon cesse d’avoir du mécontentement ou du ressentiment envers l’homme qui l’a injurié.
Kshama ou pardon est un antidote à la colère.
‘Excuse’ indique un sentiment intérieur et suppose l’exclusion de l’amitié. Quand nous nous excusons, nous cherchons essentiellement la suppression de la colère.
‘Pardon’ se rapporte plus à des choses extérieures ou des conséquences. Il s’applique souvent sur des points de détails insignifiants, comme lorsque nous demandons pardon pour interrompre quelqu’un Le magistrat accorde un pardon mais n’excuse pas.