Souci

Se faire du souci, c’est être tiraillé par l’anxiété, la contrariété, les problèmes, la perplexité, etc., tel que le souci des affaires, les soucis de la politique, les soucis et tracas de la vie.

N’anticipez pas les problèmes ou soucis sur ce qui ne pourrait jamais arriver.

Restez toujours très occupé. Faites quelque chose d’utile. Ceci est l’antidote le plus sûr du souci. Personne n’a jamais été capable de revendiquer une bonne chose par le souci. Alors pourquoi le souci ?

Ce ne sont pas les inquiétudes d’aujourd’hui qui vous pèsent, mais celles de demain. Quand le fardeau de demain est ajouté à celui d’aujourd’hui, alors le poids est plus qu’un homme ne peut supporter.

Ne vous faites pas de souci sur le passé. Oubliez-le.

Ne vous inquiétez pas des choses qui probablement n’arriveront pas. A chaque jour sa peine.

Le souci est un malaise mental à cause des inquiétudes ou des préoccupations. C’est un état confus d’inquiétude, d’anxiété ou de contrariété. C’est une inquiétude dérangeante ou préoccupante ou une raison pour l’anxiété. C’est de la contrariété ou inquiétude.

Le souci est un désarroi harassant, comme les soucis des affaires, les soucis de la politique, les soucis du chef de famille. Nous disons généralement : ‘Les soucis et les préoccupations de la vie sont redoutables’.

Les soucis tuent un homme. Ils détruisent sa joie de vivre. C’est un chancre ou un cancer qui le ronge doucement. Ils vous usent.

Un travail dur avec un mental paisible et harmonieux ne tuera personne. Il affermit le système et prolonge la vie ; mais le souci tue l’homme. Il raccourcit la durée de vie.

Ne vous souciez pas de ce qui est passé. Oubliez-le. Personne n’a jamais pu revendiquer quelque chose de bon par le souci.

Ne vous souciez pas des choses qui probablement n’arriveront pas et bien souvent, elles n’arrivent pas Chaque jour suffit sa peine.

Le meilleur antidote ou la meilleure injection de pénicilline contre le souci est de rester occupé. Faites toujours quelque chose d’utile.

Faites de votre mieux et laissez le reste à Dieu. Ne vous préoccupez pas. Vous êtes maintenant véritablement béni.